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D\'une flamme qui ne s\'éteint pas
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D\'une flamme qui ne s\'éteint pas

VIP-Blog de fauchelevent
  • 36 articles publiés
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  • Créé le : 29/11/2009 15:59
    Modifié : 21/03/2010 19:15

    Garçon (37 ans)
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    Hubert-André Tolkien

      

        "Tout à coup on entendit quelqu’un grommeler derrière la porte.                                    

        Sarah eut un petit sourire.                                                                            

      - Ah ! Ça c’est encore Hubert qui pique une de ses petites crises.                                       

        Elle ne s’était pas trompée. La porte s’ouvrit brutalement et un géant au visage de boxeur, rouge de colère, fit irruption dans le bureau.                                                                 

      - Nuno, je te présente Hubert-André Tolkien, notre éminent astronome maison… Alors Hubert, quel est le problème ?                                                                                                   

      - Ces crétins sphériques de l’administration nous ont écrit pour qu’on leur retourne un de leurs foutus papelards qu’ils nous auraient envoyé ! Sauf que ce papier, nous on l’a pas ! Et maintenant, ils nous le réclament pour qu’on régularise la situation d’ici demain dernier carat ! Ils disent que sans lui on ne pourra pas partir ! Alors je fais comment moi, maintenant ?!                                                                                      

      - Fais voir un peu ce qu’ils disent.                                                              

        Elle le lut et se leva."                       


    coeurdorizonCommentaire de coeurdorizon (14/05/2018 11:46) :

    Je suis très contente de votre excellent site, il est très intéressant !!! voyance en ligne

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    coeurdorizonCommentaire de coeurdorizon (23/03/2021 18:36) :

    Très bon article, comme toujours. Il a le mérite de susciter le commentaire voyance en ligne immediate

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    Héloïse Delaunay

    « Sur la porte en bois de chêne massif, s'ouvrit un vasistas laissant apparaître deux yeux gris acérés. De là, une voix fluette et nasillarde interpella le jeune inspecteur.

      - Qui est là ? Que me voulez vous ?

      - Bonjour madame Delaunay, je suis l'inspecteur Korrigan et je...

        De ses petits yeux gris, elle le mitrailla d'une rafale de regards furibonds.

      - La police !?...Partez ! Partez ! J'ignore ce que l'on a encore pu vous raconter à mon sujet, mais je n'ai rien à me reprocher ! Alors déguerpissez et ne remettez plus jamais les pieds ici, vous entendez !? Je suis ici chez moi ! Chez moi ! Et allez donc leur dire à tous que rien ni personne ne me chassera de ma maison ! Personne ! Pas même vous ! Pas même la police ! Compris ? Alors partez ! Allez vous en !

        Une paranoïaque ! Il ne manquait plus que ça !

        Nouvelle tentative :

      - Madame Delaunay...

      - N'insistez pas vous dis-je ! Allez vous en ! Laissez moi en paix !

          Pour couper court à toute discussion, elle s'apprêtait à refermer le vasistas lorsque...

      - Madame Delaunay, s'il vous plaît, accordez moi juste un instant ! Je vous assure que je ne vous veux aucun mal ! Je voudrais juste discuter avec vous...

        Le vasistas se rouvrit.

      - Ah !?...Discuter ?...Et de quoi ? 

      - Oui ! Juste discuter avec vous...C' est à propos de votre petit-fils.

        Dans le regard de la vieille dame, toute trace de méfiance disparut. A la place, il n’y eut plus que de la surprise.

      - Alexandre ? Mon Alexandre ?

      - Oui, Alexandre. C' est bien votre petit-fils ?

          Un éclair inquiet traversa son iris.

      - Bonté divine ! Il a fait une bêtise ?

        Pour l'instant, Nuno préférait éluder la question. Il supplia.

      - S'il vous plaît, laissez moi entrer.    

      - Bon, d'accord...Mais je vous préviens : n'essayez pas de me piéger ! Pas d'entourloupe ! Compris ?

      - Compris.

      - Un instant je vous prie.

        Elle referma le vasistas puis actionna les deux verrous. La porte s'ouvrit enfin.

      - Entrez.

        Le visage de la grand-mère était plongé dans la pénombre de sorte qu'un homme doté d'une vision normale n'aurait pu distinguer nettement les traits. Mais la nyctalopie permit aux yeux de Nuno de soulever ce voile d'ombre pudique qui nimbait le visage de son hôtesse.

        Le jeune inspecteur put de cette manière deviner que la dame était en réalité une grand-mère relativement jeune. Mais avec son visage surchargé­ de rides profondément incrustées, elle paraissait infiniment plus que son âge véritable. Un usage immodéré et inconsidéré des rayons solaires probablement, à moins qu'il ne s'agisse d'une quelconque maladie de peau, avait prématurément vieilli un visage envers et contre tout toujours éclatant de vitalité.

        Le simple fait de franchir le seuil suffit à donner à l'inspecteur Korrigan l'irrésistible impression que les quelques petits pas qu’il lui avait fallu pour parvenir de l'autre côté, l'avaient littéralement transporté à travers le temps pour le déposer en plein cœur du XIXème siècle.

        Dans cette curieuse demeure, il était inutile de chercher aucun des appareils modernes qui équipent habituellement la plupart des foyers. L'électricité surtout, semblait bannie des lieux. Nuno eut beau regarder autour de lui, il ne vit ni télévision, ni poste de radio, ni même de téléphone - mais cela il le savait déjà depuis l'interrogatoire qu'il avait mené auprès de Marie-Thérèse Darrieux.

        Toute la lumière dans laquelle baignait l'intérieur était exclusivement prodiguée par les flammes ondoyantes de lampes à huile orientales suspendues surplombant chacune des pièces. Dans un esprit identique, plusieurs bougies étaient disposées sur des chandeliers en argent éparpillés çà et là dans des niches, subtilement répartis afin de créer une ambiance claire-obscure­.

        Pour le jeune inspecteur, il parut clair dès les premiers instants que cette parcimonieuse répartition d'ombres et de lumières obéissait davantage à une volonté esthétique qu'à un désir de répandre partout une bonne clarté dans la demeure.

        Nuno put encore distinguer dans le vaste salon sur lequel donnait le long couloir d'entrée dans lequel il se trouvait encore, une vieille et belle horloge au balancier parfaitement immobile qui avait cessé de battre, depuis fort longtemps déjà, la mesure­ du temps, ôtant de la sorte sa raison d'être à cet édifice de bois et de métal sans âge intégralement consacré au dieu Temps et qui ne vivait plus faute de cœur battant. Enfin, un mobilier d'inspiration gothique venait compléter en la renforçant cette impression d'extravagance qui émanait de ce vaste décor insolite et décalé sur lequel le temps qui court semblait n'avoir aucune emprise.

        Héloïse Delaunay, avec un filet de dégoût mêlé de terreur dans la voix, rugit.

      - Mais d'abord retirez cette...cette chose !!

        Son poignet. Elle fixait intensément le poignet gauche du jeune inspecteur.

      - Pardon ??

        Elle répéta sur le ton d'une rage à peine contenue prête à exploser.

      - Votre montre !... Retirez-là !

      - Qu'est-ce que...

        Son regard furieux fixait la montre, un regard derrière lequel se dissimulait quelque chose de presque indicible mais d'une puissance formidable. Ses éclats de voix tonitruants éclatèrent à la figure de Nuno.

      - J'AI DIT : RETIREZ LA ! RETIREZ LA IMMEDIATEMENT !!...VITE !

        Elle vociféra cet ordre sur un ton rageur, terrible, qui ne souffrait aucune discussion­. Le jeune inspecteur en frémit mais son cerveau s'efforçait dans le même temps d'analyser la situation et de comprendre les raisons de la colère de l'étrange vieille dame.

        Elle semblait être vraisemblablement sous l'emprise d'une irrésistible peur panique. Quelque chose d'irraisonné et de pratiquement inconscient. En affinant son jugement, il s'aperçut qu'elle devait être esclave d'une phobie, une phobie particulière­ non pas dans sa cause mais plutôt dans la manière qu'elle avait de se manifester, une phobie incontrôlable, imprévisible et dangereuse par sa violence, une phobie frénétique qui repoussait sa malheureuse victime dans les derniers retranchements d'une fureur hystérique.

        Mieux valait ne pas la contrarier. Il obtempéra.

        L'objet incriminé ayant disparu à ses yeux, elle se calma aussitôt.

        Puis d'un ton sec :

      - Bien ! A présent, je vous saurais gré de bien vouloir me suivre jusqu'au salon.

        Tout se déroula par la suite comme si l'incident n'avait jamais eu lieu.

        Nuno continuait à l'observer avec intérêt.

        Le corps d'Héloïse Delaunay, toujours enveloppé de pénombre, était engoncé dans une large robe couleur bleu du soir, longue, identique à celles que devaient porter­ les grandes dames de la bonne société de ce siècle révolu qui avait assisté à l'épanouissement du romantisme. Tout compte fait, sa tenue vestimentaire épousait harmonieusement la chaleureuse atmosphère délicieusement surannée de l'intérieur de la maison. Mais pour le jeune inspecteur, il paraissait maintenant évident qu'elle prenait garde de dissimuler son visage en le maintenant perpétuellement drapé de pénombre.

        Nuno la suivit jusqu'au salon non sans une secrète appréhension qu'il ne parvenait­ pas à réprimer. Mais en même temps, il se sentait irrésistiblement attiré par un je-ne-sais-quoi d'indéfinissable.

        Lorsqu'ils furent tout deux confortablement installés, la vieille dame se mit à le toiser d'un regard si intense que celui-ci creusa encore davantage le malaise de Nuno, un malaise qui trouvait sa source dans les quelques mots échangés avec le riverain­ à son sujet. Un malaise approfondi par la colère furieuse et subite qu'il avait eu à affronter. Inconsciemment, son jugement s'en trouvait influencé.

        Etait-elle réellement folle ?

        Sans qu'il ne puisse rien faire pour y remédier, cette seule idée suffisait à le faire frémir. De toute son âme, il se sentait irrémédiablement pris au piège dans cette étrange demeure au charme vénéneux qui jouait subtilement au trouble jeu de l'attirance-fascination-répulsion, et infiniment plus encore de sa singulière hôtesse.

        L'étrange atmosphère dont était imprégnée la maison, l'horloge arrêtée, la manie singulière de la vieille dame de draper son visage de pénombre, sa grande robe excentrique et anachronique, son attitude de recluse rétive apparemment coupée du monde et de ses réalités, sa méfiance excessive, quasi paranoïaque, vis-à-vis de lui-même, autant de choses qui inclinait le jeune inspecteur à penser que son interlocutrice­ avait dû laisser échapper de son esprit l'intégralité de sa raison. »

     



    coeurdorizonCommentaire de coeurdorizon (14/05/2018 11:46) :

    Votre site m’a beaucoup aidé de savoir plusieurs choses, Merci beaucoup. voyance serieuse gratuite par mail

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    Peter Grimm


        "Peter Grimm consulta une vieille montre à gousset ruinée qu’il sortit de sa poche intérieure.

        D’un geste leste et si furtif de la main qu’il ne parut pas avoir été fait, il fit voler son vieux haut-de-forme cabossé. 

       - Excusez-moi, je reviens… 

        Le chapeau se posa avec la légèreté d’une plume sur le sol. Peter Grimm s’en approcha d’un pas faussement pataud. Il s’en approchait, mais à chaque fois qu’il paraissait sur le point de s’en saisir, son couvre-chef prenait la fuite. L’homme à l’allure de Pierrot lunaire faisait mine de s’en approcher sans en avoir l’air, à pas de loup. Le chapeau lui échappait sans coup férir.

        D’abord éparpillés et indifférents, tous les regards commencèrent à converger vers Peter Grimm qui poursuivait son numéro à l’imitation des pionniers du cinéma burlesque. Bientôt hilare de voir cet homme lourdaud jouer les funambules, ils le considéraient avec attention. Dans un ultime assaut, il plaqua son haut-de-forme contre le sol. Au milieu de tous les convives, il prit dans ses mains le vieux haut-de-forme aplati pour en débarrasser d’un revers de manche la poussière qui s’y était déposée.                                                                                                                    

      - Excusez moi braves gens, mais en ce moment je travaille du chapeau !…Humm… Au moment même où l’on procède à la réfection des vieux quartiers de notre bonne ville, je vais vous conter une histoire qui s’est déroulée dans un lieu qui n'existe plus, un lieu où s'entremêlent la légende et l'histoire… Je vais vous demander de bien vouloir fermer vos yeux… Prêts ?… Allez-y ! Fermez-les donc pour empêcher que le flot des images de la réalité ne vienne submerger votre esprit. Voilà. Prêt pour le grand départ ? Larguez les dernières amarres qui vous rattachent encore à ici et au présent. Laissez-vous bercer et porter par la douce brise de la rêverie. Hissez haut la grand-voile de votre âme d’enfant. Maintenant, vous pouvez laisser votre esprit voguer et divaguer sur le long cours de votre imagination. Imaginez… 

        Comme hypnotisés, tous les regards fermés de l’assistance convergeaient vers le vieux saltimbanque. A l’abri derrière leurs rideaux de chair, leurs yeux béants réclamaient avec force des nourritures d’images intérieures et de mots."

     



    coeurdorizonCommentaire de coeurdorizon (14/05/2018 11:46) :

    Tous les conseils que vous avez partagés sont adorables !!! Merci. voyance gratuite en ligne par Email

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    coeurdorizonCommentaire de coeurdorizon (23/03/2021 18:38) :

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    L'Institut de la Pyramide


         L'Institut de la Pyramide est une organisation non gouvernementale à vocation à la fois humanitaire et scientifique. Elle a été fondée par Maria Delpiero en Afrique du Sud avant d’essaimer de par le monde. Elle se donne pour mission de résoudre les énigmes dont personne ne veut faute de moyens, de temps, de compétences ou tout simplement par manque d'intérêt. Les cas extraordinaires­ touchant à de très diverses disciplines scientifiques intéressent les sociétaires­ et constituent leur ordinaire. Ils s'attachent à explorer les champs des possibles laissés en friches par la majorité des hommes de sciences. Parallèlement à ces activités, L’Institut mène des “ campagnes de développement ” qui vise à aider les populations à se développer par eux même.  

       

        Malgré les difficultés induites surtout par le manque d'argent et les quelques inévitables­ frictions régnant au sein du groupe, l'Institut bénéficie d'une solide réputation­, d'un large crédit acquis au prix d'un labeur acharné.

       

        Dès leurs débuts et pendant longtemps encore, ils eurent à essuyer un feu nourri de sarcasmes, à encaisser une longue série de charges violentes assénées par leurs collègues évoluant dans des structures académiques, s'occupant de champs de recherches académiques, réfléchissant, raisonnant, concevant le monde à l'aune de concepts, de théories, de lois académiques.

        Le bureau des ordinateurs est le centre nerveux de l’organisation. Toute la mémoire de l’institut y est concentrée. Dans la mémoire de la toute nouvelle génération d’ordinateurs neuronaux sont répertoriées les affaires non élucidées dénichées par les membres de l’Institut et celles délaissées par la police. Ces affaires ont pour point commun de revêtir un caractère étrange.


     La philosophie de l’Institut :



          L’action de L’Institut s’inspire de la philosophie qui prévalait dans la médecine chinoise traditionnelle qui considérait qu’un médecin contraint de soigner ses patients est un mauvais médecin justement parce qu’il n’a pas su prévenir la maladie. Les bons médecins n’avaient que des clients en bonne santé.


         L’organisation s’efforce d’agir un peu de la même manière et intervient pour faire en sorte de prévenir ces catastrophes. L’Institut intervient par de la formation essentiellement. Pour éviter aux populations d’avoir à subir des catastrophes on leur apprend à faire face afin qu’ils puissent se débrouiller par eux-mêmes en cas de problème, la seule façon pour eux de sortir de cette logique de dépendance dans laquelle ils sont. Ce ne seront plus à terme des populations assistées dont la vie dépend du bon vouloir de l’aide internationale.


        Des professionnels et des enseignants de l’organisation assurent des cours. L’Institut fait également appel à des personnes extérieures exerçant des métiers qui pouvaient être utiles aux populations.  Pour cette raison ils créent de nouvelles écoles là où elles manquaient et s’efforçent de développer celles qui existent déjà. Ils sont là pour permettre aux enfants d’avoir un certain bagage qu’ils n’auraient pas autrement. De cette façon, pour une partie d’entre eux au moins, ils pourront faire des études supérieures pour ensuite mettre leurs connaissances en pratique et ils seront en mesure d’aider non seulement leurs familles et leur village. Ils  transmettront et dispenseront ainsi à leur tour leur savoir.

     

    L’origine du nom de l’Institut de la Pyramide :


         Le savoir est à la base de tout. C’est pour cette raison que L’Institut a choisi d’adopter la Pyramide comme le symbole de l’organisation. La pyramide représente l’ensemble des connaissances acquises par l’humanité. La base de la pyramide symbolise l’état élémentaire de notre savoir tel qu’il se trouvait du temps des premiers hommes. Avec le temps ce savoir s’est empilé et élevé et en s’élevant, il s’est affiné. Aujourd’hui, nous avons la chance de disposer d’une somme de connaissances encore jamais égalée. Un savoir très élevé et très pointu. Mais de même qu’une pyramide, ce savoir possède plusieurs facettes. Une facette représente le bien et l’autre, le mal. Chaque découverte que l’on peut faire, chaque invention que l’on peut créer, est potentiellement bénéfique ou nuisible pour l’humanité. C’est selon l’usage que l’Homme a décidé d’en faire. 



    coeurdorizonCommentaire de coeurdorizon (14/05/2018 11:46) :

    Votre site est merveilleux ! Je vous souhaite une très bonne continuation. consultation voyance gratuite

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    Le début du XXIe siècle



    coeurdorizonCommentaire de coeurdorizon (14/05/2018 11:46) :

    Un excellent bravo pour un excellent sujet et un excellent blog !!! voyance par mail

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